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Camomille

11 août 2008

Changement d'adresse

Et hop, on clique sur le petit lien pour suivre la visite:

http://leblogdecamomille.blogspot.com

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11 août 2008

Le joli mois d'Août

Aout1

Aout2

Aout3

Vive le mois d'Août!

8 août 2008

L’invasion a commencé.

Il y en a partout.

Mais qui ? Quoi ?

Des hollandais. Moi qui croyais ne les croiser que sur les routes des vacances, c’est faux.

Moi qui pensaient qu’ils descendaient tous dans le sud et les régions montagneuses, c’est encore faux.

Moi qui n’envisageais aucunement d’avoir à les croiser dans mon magasin, c’est toujours faux.

J’aurai du m’en douter, en en voyant se promener quelques spécimens dans les rues de la ville.

Attention, je tiens à le préciser, je n’ai rien contre la nationalité hollandaise. Au contraire. Dans ma jeunesse, il m’est arrivé de vouer un culte immodéré au jeune mâle hollandais, variété Camping.

Ce sont trois éphèbes blonds qui sont venus me tirer de mon ennui mortel d’une fin d’après midi.

Leur doux chant mélodieux est venu flotter jusqu’à mes délicates oreilles.

Sauf que mélodieux leur chant n’est point. Un mélange d’allemand et d’anglais qui produit un résultat assez… particulier.

Ma mission : vendre une paire de lunette en anglais à une armoire à glace blonde. Hum. Bon.

Je me suis donc avancée vers les trois individus parlant un langage totalement incompréhensible pour moi et commençant donc à leur demander s’ils voulaient essayer des lunettes (en français et avec force de signes).

Ils voulaient.

Me voici lancée. Surtout coincée entre le présentoir à lunettes et les trois gaillards.

Quand est venu le moment où l’un d’entre eux plus freluquet se mit à me parler en anglais (deux mots mais quand même), je sus que je ne pouvais plus reculer.

Aussi tôt, la langue de Shakespeare est devenue pratiquement (je dis bien pratiquement) accessible à mon cerveau et je me suis vue baragouiner quelques mots d’anglais avec je dois dire assez de facilité.

Que même j’ai parlé anglais jusqu’à la fin, allant à annoncer le montant de la lunette en anglais. Pour cela je ne cacherai pas qu’il m’a fallu réfléchir le temps d’aller chercher l’étui dans l’arrière boutique, les chiffres en anglais et moi faisant deux.

Je ne saurai dire si le hollandais acheteur se trouva ébloui devant ma capacité à parler anglais, toujours est-il qu’il m’a dit « merci » et « au-revoir » en français. Histoire de me faire comprendre que lui aussi pouvait faire des efforts non mais oh.

J’étais doublement fière d’avoir et vendu une paire de lunettes de soleil qui n’allait pas à tout le monde, et de l’avoir fait en anglais. Même si ce n’étaient que deux/trois mots par si par là.

7 août 2008

Miam miam!

Machine___pain

6 août 2008

Réalisé sans trucages

Ce midi dans mon taboulé j'ai rencontré monsieur Pois-Chiche:

DSCN2313

DSCN2319

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5 août 2008

Choupi

Choupi

4 août 2008

Coupe de cheveux

Pendant les vacances, ma soeurette a accepté par je ne sait quel miracle que je lui coupe les cheveux.

Mais je voyais bien qu'elle n'était pas très détendue...

Coupe_de_cheveux

4 août 2008

Une nouvelle vie commence…

Oui. Un peu comme une renaissance, une résurrection, un nouveau printemps qui voit les petits bourgeons s’ouvrir à la chaleur du soleil pour bientôt se voir butiner par les charmants insectes qui peuplent le ciel d’été et… bref, changement grave il y a.

Jugez-en plutôt :

Je ne suis plus une étudiante.

Ou bien :

Me voilà immergée tout plein dans la vie active.

Ou encore :

Je peux rentrer chez moi le soir tranquillement sans me dire que crotte de biquette j’ai pas révisé l’interrogation de lundi.

Et ça, ben c’est juste trop cool comme dirait l’autre.

Il faut juste que psychologiquement je m’habitue à ce changement unique et depuis longtemps attendu.

Deux semaines de vacances n’ont donc pas été inutiles.

Que voulez vous, on ne balaye pas du jour au lendemain vingt ans de vie scolaire. Ou dix-neuf. Je ne sais plus, je suis perdue.

Bref, là aujourd’hui, bonheur absolu, je ne travaille pas le lundi et je suis toute seule à l’appart et je peux faire ce que je veux.

Aller je vais me remettre à dessiner !

26 juin 2008

Prise d'otage

Prise_d_otage___copie

24 juin 2008

Top la forme

Matin_exams___copie___paint

23 juin 2008

Coloriâge

R_verie___copie

Voila une colorisation d'un ancien dessin.

Je m'entraîne à utiliser photoshôp, et croyez moi, colorier un dessin à la souris, ben... c'est pas du gâteau.

21 juin 2008

La famille s'agrandit

Soeurette_blog

Pour aller y jeter un oeil, c'est par là:

http://caribelle.canalblog.com/

20 juin 2008

Et la suite

Mes_exams__2____copie

19 juin 2008

Chose promise, chose due

Mes_exams__1____copie

17 juin 2008

Bientôt

Patience patience les gens, je reviens bientôt avec... un dessin qui résume de façon très concise mais réelle ma journée d'examen de lundi.

Que d'ailleurs si j'ai le courage je ferai de même pour ma journée de dimanche, car oui, dimanche était un jour d'examen, tout comme dimanche prochain.

C'est trop de bonheur...

12 juin 2008

Demande en mariage

bouquet_mari_eEt oui.

Dans l’endroit le plus glamour du monde : au Monoprix.

Mais si je puis me permettre, c’est la supérette la plus glamour de toutes les supérettes. Moi Monop’, je trouve ça classe. Bref.

Je vais situer un peu le contexte.

Donc aujourd’hui, j’ai supplié à genoux ma môman pour qu’elle me coupe les cheveux. Oui je sais, j’ai été chez le coiffeur y’a un mois, et alors.

Que la coiffure qu’elle m’a faite la coiffeuse c’était très joli quand je suis sortie brushinguée et cirée (avec de la cire dans les cheveux quoi, prévue à cet usage), mais quelques semaines après y’en a dans tous les sens et ça ne ressemble plus à rien.

La mission était donc d’égaliser un peu tout ça.

Mission réussie.

Je repars chez moi et m’arrête en chemin au Monoprix, ayant deux/trois courses à y faire.

Je décide entre autres de m’acheter un pot de cire pour les cheveux (le gel j’aime pas top ça fait trop « gel ») et une faire de bas-soquettes.

Je reste bien 10 minutes devant le rayon capillaire à examiner toutes les marques de cires, les prix, les contenances, la couleur du pot, la poussières sur les rayonnages…

Un grand vigile black qui passait par-là me surveille pendant une demi-seconde, se demandant sûrement pourquoi je passe autant de temps dans le rayon des artifices capillaires, que peut-être j’ai l’intention d’en chiper un.

Faut dire ces truc là ça coûte la peau des f… les yeux de la tête.

J’arrive enfin à me décider, et décide de passer au rayon féminin des mi-bas.

Là rebelotte, je passe … aller… cinq minutes à examiner les marques, les prix…

D’un coup, je sens le vigile s’approcher de moi (finalement pas si grand) et rester là. Bon. Je tourne la tête, m’attendant à être réprimander à passer autant de temps dans chaque rayon.

Et là, il me demande texto :

« Je dois faire quoi pour me marier avec vous ? »

Euh… Vous pouvez répéter la question ???

Je dois répondre quoi là ?

Avec bien sur un mi-bas dans chaque main, je tiens à le rappeler.

Moi : « Ben en fait euh… je suis déjà prise, alors ça ne va pas être possible. »

Lui : « Ah, bon ben tant pis »

Moi : « Pourquoi ? » (Pourquoi je lui demande pourquoi ???)

Lui : « Ben comme ça, je me demandais »

Moi : « Oui, ben là non c’est pas possible, mais je ne suis pas mariée, alors soyez patient » (Faire de l’humour pour cacher mon étonnement)

Lui : « D’accord, ben… bon courage ! »

Moi : « Merci, bonne journée à vous ! »

Inutile de dire que j’ai fini mes courses en deux minutes chrono et que si le but était de me faire accélérer la cadence, c’était réussi.

PS: Comment ça c'était pas une vrai demande en mariage?

6 juin 2008

Plomberie + Moi = 3

_vierVoir même quatre d’après ce qui m’est arrivée ce matin.

Pleines de bonnes intentions, après avoir fait ma vaisselle du petit déjeuner, je décidais de nettoyer le culot de ma robinetterie d’évier.

Alors si tu ne sais pas ce qu’est le culot :

-         Tu vas chercher pendant une bonne dizaine de minutes pour savoir ce de quoi ça s’agit. Comme moi. En plus facile parce que moi je savais ce que c’était mais je n’avais pas le mot.

-         Tu écoutes sagement mon explication : il s’agit d’une sorte de bidule en dessous de ton évier qui sert à récupérer les machins de ta vaisselle que tu as la flemme de jeter à la poubelle parce qu’elle est trop loin et que t’as les mains toutes mouillées et que tu coup tu les fais passer par la bonde. C’est clair comme explication ?

Alors je décidais de nettoyer cet objet qui s’appelle un … (tous en cœur) culot.

Pleine de bonne volonté, j’ouvre les portes de mon placard sous l’évier. Je dévisse la chose, non sans faire attention de pas mettre de l’eau partout parce que forcément il est rempli d’eau (ça j’y avais pensé). Sauf que ça n’a pas suffit, et qu’une fois enlevée, de l’eau qui venait de je ne sais pas où s’est déversée sur ma réserve de sac plastiques/papiers d’alu/de cuisson/éponges neuves qui avaient élus domicile ici.

Ok.

Reste à ésponger Jacquouille.

Entre temps j’entreprenais de nettoyer le culot avant de le replacer au bon endroit parce que bon si je l’avais enlevé c’était pas pour le plaisir de l’admirer de plus près.

Et là, tous mes neurones avaient migrés … ailleurs.

D’après vous, où ai-je nettoyé le-dit culot ? Hein ? Oui oui, dans l’évier même. C’eût été trop facile d’aller à la salle de bain et d’utiliser un lavabo ETANCHE. Oui parce que l’évier de la cuisine, sans le culot, ben toute l’eau se déversait… dans mon placard. Mais ça, je ne l’avais pas prévu. Ce n’est qu’en ouvrant mon robinet et en entendant l’eau couler bizarrement que tous mes neurones sont revenus d’un coup.

Là pour le coup j’ai vraiment tout inondé mon placard.

J’ai alors pris mon poncho éponge et ma bassine, et j’ai espongé.

Maintenant tout est rentré dans l’ordre, j’ai bien remis le culot et vérifié qu’il ne fuyait pas, j’attends juste que mes sacs sèchent.

On m’y reprendra à faire de la plomberie…

3 juin 2008

Vive le sport

MuscleSurtout que quand on n’en fait pas et qu’on a des musses atrophiés de courgette comme moi, un moindre effort vous fait souffrir pendant au moins trois jours.

Alors je vous cause même pas de la wii.

Ouais, une soirée wii, on va faire du sport, ça va nous bouger.

Sauf qu’avec Chérinou, on n’aurait pas du commencer si dur.

Mais on ne savait pas, pôôôvres de nous (surtout pôôôvre de moi).

On a enchaîné le tennis, le bowling et la boxe, histoire de finir en beauté.

C’est très marrant au début, on s’amuse, on sue trois litres de flotte durant un combat de boxe acharné (à défaut de se taper dessus en vrai hein, non je rigole) où tu tapes dans le vide comme une grande malade que tu es parce que ton personnage il fait pas ce que tu lui dis de faire alors tu tapes encore plus fort.

Et puis le lendemain c’est beaucoup moins marrant.

Tu as mal. Très mal. Surtout en fin de journée.

Dans tout le dos.

Que tu apprends l’existence de musses que même pas tu pensais qu’ils existaient.

Ouaouh j’ai tant de musses que ça ?

Et oui, et ils te le font savoir, du genre non mais c’est quoi ça on était bien tranquilles pépères à rien faire, qu’est-ce que tu viens nous solliciter ?

Ben je vous le dis mes copinous musses, la prochaine fois je ferai plus attention à vous.

31 mai 2008

En avant les tendances

Il faut que je vous relate un fait assez cocasse qui m’est arrivé au magasin.

Un couple de quadragénaires arrive dans le magasin et se dirige vers les murs couverts de lunettes pour admirer comment elles étaient propres nettoyées par mes soins.

Le monsieur avec des airs d’Alfred Molina, et la madame grande blonde et à mon avis pas française.

Moi, avenante et polie, je m’approche discrètement mais pas trop et leur pose la question fatidique « bonjour messieurs-dames, puis-je vous renseigner ? ». Je sais, il ne faut pas poser des questions fermées (qui attendent un oui ou un non bande d’ignares), mais ouvertes pour faire parler le client.

Sauf que je n’allais pas leur demander « que puis-je pour vous » vu qu’ils étaient déjà entrain de lorgner les montures sans rien me demander.

Bref.

La dame me répond donc qu’elle cherche une monture de lunettes (comme quoi une question fermée peut amener une réponse ouverte, na). Tout ça avec une pointe d’accent tellement légère que je n’ai pas su dire d’où il venait.

Je lui demande de développer genre « avez vous une idée de ce que vous cherchez ? ».

Et là elle me sort la perle de la semaine : « Oui alors je cherche quelque chose de tendance vous voyez mais pas les tendances de maintenant qui vont se terminer, plutôt les tendances qui vont démarrer ».

Soit, mais alors c’est pas encore sortit madame. Y’a des limites à l’avant-gardisme.

Voyant qu’elle lorgnait sur les grandes montures, on est parti là dessus, sachant que bien sur les petites lunettes ça fait tellement longtemps que c’est à la mode que c’est old-fashioned maintenant. Comme elle veut.

On est parti pour essayer tout le rayon Chanel, quand j’ose lui proposer une monture Bulgari très chère parce que les montures très chères vont être à la mode.

La monture très chère lui va très très bien. Vraiment. Pas seulement parce qu’elle est très très chère.

La madame et le monsieur la trouvent très belle la monture très très chère.

Jusqu’à ce qu’ils voient le prix.

J’étais très déçu, je ne pensais pas qu’ils s’arrêteraient à ce genre de détails.

Et puis ils sont partis, emportant avec eux le souvenir d’une Chanel qui leur plaisait.

Dommage.

30 mai 2008

Le rugby n'est pas pour moi

rugbyMoi qui voulais entamer une carrière pleine d’espoir (et de retard) dans le sport du ballon ovale, je me suis vue obligée d’arrêter aussi vite que j’avais commencé.

Car le rugby est un sport violent.

Oui, parfaitement.

Que même j’en ai fait l’expérience (douloureuse) ce week-end.

On est allé avec Chérinou chez ses cousins, et beau temps oblige, nous avons fait un mini rugby dans le jardin.

Quand je dis « mini rugby » je veux surtout dire « on joue un peu comme on veut ».

J’avais eu un bon souvenir de la dernière fois (je me suis sentie soulevée de par terre les jambes dans le vide et retomber avec tout le monde sur le gazon c’était très drôle), alors j’ai récidivé.

J’ai posé toute mes affaires fragiles sur la table : montre, bracelets pour leur éviter de finir leur vie de bijoux trop précocement. Sauf que j’avais oublié d’enlever mon nez.

Parce que genre trois minutes après le début des hostilités, en pleine bagarre, j’ai vu la tête de Chérinou s’approcher à vitesse grand V de mon visage et frapper de plein fouet dans mon nez.

Il faut dire que mon nez étant relativement grand, c’est plutôt lui qui a arrêté la tête de Chérinou.

Sauf que ça ne lui a pas du tout plu, à mon nez. Ni à moi d’ailleurs.

Je me suis arrêtée fissa tellement j’avais mal, me tenant le nez dans les mains (oui il me faut mes deux mains pour tenir mon nez c’est dire s’il est grand) car j’avais trop peur qu’il ne tombât.

Je me voyais déjà en haut de l’affiche (euh non…) le nez en sang, tout cassé et cabossé, mon pauvre nez qui déjà n’était pas des plus jolis.

En fait non, je n’ai pas saigné, l’os n’était pas cassé, juste le cartilage avait du souffrir (et moi aussi).

Douze secondes plus tard on m’apportait des glaçons pour me mettre sur le pif qui avec le froid devenait tout rouge, trop beau.

J’ai bien eu mal tout l’après midi, inutile que pour se moucher, c’était mission impossible, moi qui me mouche toutes les demi-heures c’était trop pratique.

Au bout de quatre jours ça commence enfin à aller mieux, c’est toujours un peu douloureux lors du mouchage.

Finalement, j’en veux à Chérinou de ne pas y avoir été plus fort et de me le casser franchement le nez, j’aurais eu droit à une chirurgie esthétique remboursée par la sécu.

Et puis en y repensant, je n’en suis pas si sure, parce que ça fait vraiment trop mal.

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